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histoires

Autoski

Publié le par bauds

Au début des années cinquante, je fonçais à toute allure dans les couloirs de la maison de mes parents aux commandes d'un cyclorameur comme celui-ci qu'on appelait l'autoski,
cyclorameur.jpg

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Vratouille

Publié le par bauds

La vratouille se joue à deux, avec une pamoise et un corbechin. Le joueur qui joue la pamoise doit dégluter le corbechin de l'adversaire sans faire magreler son corzon. Si le corzon magrèle, il devrouille son rachepied et burgonne sa clillette en tarfouinant ses rallebouifs. Dans le cas contraire, c'est le corbechineur qui ragouille.
Les joueurs changent de camp à chaque riponart de douze coups.
(Jean Yanne)
yanne.jpg

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Les Manala de la Saint Nicolas

Publié le par bauds

En Alsace et dans l'Est de la France, à la Saint Nicolas on mange des Manalas
(en alsacien, Manala veut dire "petit bonhomme")



En voici une recette :>>>>>>>>>link

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Légende (suite)

Publié le par bauds

Une autre vue des boeufs de la cathédrale de Laon

voir l'article >>>>>>>>>>>>Légende
Et une vue générale de la cathédrale au crépuscule

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Légende

Publié le par bauds

Patrimoine - pourquoi des boeufs?

Les boeufs ont été placés là (deux à chaque angle des tours de la façade) pour rappeler la légende du boeuf mystérieux et miraculeux qui remplaça sur le champ, dans un attelage de quatre animaux qui conduisait au sommet de la colline les matériaux nécessaires à la construction, un des boeufs épuisés.

La cathédrale de Laon a été construite entre 1155 et 1200.

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Jésus

Publié le par bauds

La mère de Jésus reçoit le bulletin scolaire de son fils.
...Math: 3/20 - multiplie les pains à volonté mais ne sait toujours pas faire une division : LAMENTABLE!
...Chimie : 2/20 - transforme l'eau en vin et incite tous ses petits camarades à l'alcoolisme.
...Sport : 0/20 - ne sait toujours pas nager (ne pense qu'à faire rire ses petits camarades en marchant sur l'eau).
Marie regarde alors sévèrement son fils et lui dit :
- Avec un bulletin comme ça mon garçon, tu peux faire une croix sur les vacances de Pâques.

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Sim

Publié le par bauds

 

Une histoire de Sim écrite par Maman en 1991 après l'avoir vue ou entendue dans les médias:

 

Jean Nohain qui organisait les galas de fin d'année à l'Elysée avait fait engager Sim par le Président René Coty pour l'arbre de Noël des enfants du personnel du palais. Jean Nohain avait simplement dit à Sim d'être à l'Elysée vers treize heures sans préciser qu'il y avait d'abord un déjeuner intime, que le Président et Madame Coty offraient toujours aux artistes.

Sim était donc arrivé à treize heures, mais en costume de scène, car il avait un autre gala au cirque d'hiver en fin d'après-midi - espèce de costume pour le cirque mais déplorable devant le chef de l'État et ses invités vêtus de complets sombres et élégants -.
Silence que Jean Nohain, gêné,  s'empressa de briser. "Madame, Monsieur le Président, je vous présente Sim qui est notre comique." René Coty eut un large sourire et dit : - "mes compliments vous êtes déjà très amusant." cette entrée avait paralysé le pauvre Sim pour toute la soirée. Ses voisins de table l'avaient totalement oublié, et Jean Nohain, brillant comme d'habitude, échangeait des propos drôles avec tout le monde.

C'est au moment du dessert que la situation devint carrément désespérée! De superbes oranges givrées! Sim regardait les autres qui se servaient adroitement de pinces géantes en argent massif pour immobiliser le fruit.

De l'autre main, ils trempaient une petite cuillère dans la crème glacée.

De sa vie, il n'avait jamais vu de tels engins. Il prit sa pince personnelle et, après quelques dérapages, sans gravité, il bloqua l'orange. Mais au moment où il allait mettre sa cuillère dans la glace, le ressort de la pince se détendit brusquement et l'orange fut projetée hors de son assiette. Il l'a vue disparaître comme une fusée dans les rayons de la bibliothèque qui se trouvait à sa droite. Ignoré qu'il était de tous en bout de table, personne ne l'avait vu commettre cette maladresse. Plutôt déprimé, il reposa ses instruments sans rien dire pour se réfugier dans un silence plein de lâcheté.

Madame Coty, en parfaite maîtresse de maison, surveillait discrètement les assiettes de ses invités: voyant que celle de Sim était vide, elle vint lui dire : "vous avez l'air d'aimer les oranges givrées cher Monsieur" pendant que Jean Nohain regardait incrédule l'assiette vide. Il était évident qu'on pouvait penser que l'orange avait été avalée avec sa peau... Madame Coty ayant la délicatesse de ne pas s'en étonner publiquement avança: "vous en voulez une autre?". Là, c'est avec vigueur que le pauvre Sim répondit : "oh, non! merci! il faut être raisonnable"

Vinrent au salon, le café et les liqueurs; mais pendant ce temps, Sim n'eut qu'une idée: récupérer la saloperie d'orange. Profitant d'un moment d'inattention, il parvint à s'infiltrer dans la salle à manger, déjà rangée, vide , fonça vers la bibliothèque, farfouilla dans deux ou trois rayons, et retrouva l'orange qu'il mit, faute de mieux dans la poche de son veston. Quelques secondes après il revint au salon où Nohain lui demanda discrètement : "mais qu'est-ce que vous foutez? depuis que vous êtes là vous avez un comportement bizarre". C'est alors que Sim osa: "Je cherche les toilettes" alors que le fruit engluait sa poche, et Nohain impatient lui montrant une porte dans le couloir "dépêchez-vous... j'irais après vous". Sim s'est donc retrouvé debout, son orange à la main, plein de respect subit et d'une évidente admiration devant la cuvette des WC présidentiels, pensant au nombre de fesses royales qui s'étaient assises sur ce siège... La reine d'Angleterre, la culotte sur les chaussures, restituant au sol français une partie de la gastronomie des princes et des rois distillant des châteaux Margaux par la voix de leurs canaux diplomatiques ...; enfin, il lâcha l'orange qui tomba au fond de la cuvette avec un "plouf" qui dut s'entendre à travers la porte. Jean Nohain, derrière, était très intrigué par ce bruit exagéré dans ce couloir silencieux et son inquiétude grandit quand il entendit plusieurs fois la chasse d'eau... car à chaque tirage de chaîne, l'énorme orange disparaissait dans un bouillonnement prometteur puis revenait finalement à la surface dans toute sa splendeur! Il fallait attendre que le réservoir se remplît pour recommencer l'opération. Jean Nohain pensant que Sim n'allait pas bien, frappa plusieurs fois à la porte : "vous êtes malade?"

Quand Sim eut l'idée de déchirer l'orange en petits morceaux, l'ensemble disparut à l'exception de trois ou quatre bouts; et Jean Nohain, prenant la suite, regarda cela avec un air consterné, et d'un ton plein de reproche, dit avant de s'isoler : "vous n'auriez jamais dû manger la peau, c'est indigeste!"

Et la même histoire racontée pas Sim lui-même:

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